
La crise sanitaire, les manifestions… une société BOULEVERSÉE et fracassée sur l’autel de l’ultralibéralisme…
La photographie de manifestions, est une narration subjective d’histoires individuelles et collectives
Dans cette crise unique de l’histoire de l’humanité, qui touche l’ensemble de la planète, je ne cherche plus à convaincre, je tente de réveiller les esprits endormis par la sidération de la peur. Une sidération qui inhibe l’analyse rationnelle de ce qui se déroule depuis plus de deux années.
Plus le temps passe, plus la compréhension des évènements devient complexe et les dérives extrêmes des interprétations de part et d’autre se multiplient. Curieusement au sens machiavélique du terme, les états durcissent leurs positions. Macron n’hésite plus à utiliser la vulgarité pour attiser plus encore la division et mettre au banc des bannis les personnes qui ne veulent pas rentrer dans le « rang »… Cette crise « arrivée trop tôt » n’a rien de sanitaire, du moins, elle n’est plus « sanitaire ». Cette crise est l’annonce d’une mutation sociétale sans précédent. Le confort de la vie aura un prix, celui du crédit social. Quant aux libertés, elles seront désormais dictées par les nouvelles lois de l’ultralibéralisme.
Je tente de placer l’humain au premier plan à travers ces photos de manifestations. Les regards, les attitudes individuelles sont au centre de mes préoccupations de prise de vue. Mettre en évidence la personne au sein de la foule. Offrir un aspect humaniste à travers la photographie…






