
Blog

Tri-Backup. La sauvegarde ce n’est pas fun et sexy, mais vital ! désolé!
Il y a des tâches informatiques récurrentes qui paraissent déplaisantes comme la maintenance du système, les mises à jour et les sauvegardes!
Ah!, ces fameuses sauvegardes, tout le monde s’accorde à penser qu'elles sont essentielles et vitales. Vitales! elles le sont, à l'échelon le plus élevé de la sécurité des données. Malheureusement, ce sont trop souvent que de bonnes intentions, jusqu’à ce jour ou vous avez perdu tout ou partie du contenu de votre ordinateur. Si par malheur ce jour arrivait, c'est que vous avez choisi la politique de l’autruche, avec le cul en l’air. Je comprends vos larmes et votre colère face à votre stupide malveillance. D’abord, reprenez une position plus décente et surtout prenez la décision de faire ce qu’il faut…
Comme dans le domaine de la postproduction photographique, les applications de sauvegarde ne se bousculent pas. Clairement, il y a Retrospect et Tri-Backup. Je ne parle pas des autres applications qui sont souvent des gadgets, qui fonctionnent avec plus ou moins d’efficacités et qui surtout ne répondent pas à tous les types de besoins et laissent trop souvent de nombreuses erreurs au niveau de la vérification des données sauvegardées.

Olympus Pen-F, peut-être la renaissance salvatrice d’une légende et d’une belle gueule…
J’ai une affection particulière pour Olympus, même si nous nous sommes séparés depuis quelques années. J’ai fait partie de ces rares photographes qui ont cru au révolutionnaire Olympus E-1 avec son capteur d’exception signé Kodak et des optiques Zuiko, certainement les meilleurs sur cette planète. Les connaisseurs sauront de quoi je parle si je cite, par exemple, le 35/100 (très prisé pour le cinéma).
Le nouveau boitier Pen-F est une renaissance d’un boitier portant le même nom né cinquante-sept ans plus tôt. L’Olympus Pen-F connut le succès sous différentes versions de 1959 jusqu’en 1963.
Le vintage n’est pas qu’une simple recette marketing pour conquérir de nouveaux utilisateurs, c’est aussi la preuve qu’il est indispensable de retrouver les fondamentaux de la pratique photographiques comme la sensation de maitrise à la prise de vue en interagissant, comme à l’ancienne, sur les variables vitesse, sensibilité et diaphragme. Un plaisir très subjectif qui offre cette impression magique que l’on fait mieux, que l’on est plus créatif et que l’on va à l’essentiel du sujet.

Leica X-U, un « Nikonos » au tarif délirant. Oui, mais c’est un Leica!
Le dernier appareil en date de la marque Leica s’appelle Leica X-U. Un « nouveau » boitier qui n’est plus ni moins qu’un Leica X (typ 113) avec la particularité d’être étanche jusqu’à 15m, certifié de la très officielle norme ISO IP68.
Certes, les photos qui sortiront du Leica X-U seront superbes comme elles le sont avec le Leica X (typ 113) et plus belles encore que le Fuji X100T. Certes, le Leica X-U ne manque pas d’arguments pratiques pour justifier son usage en situations extrêmes sur terre, sous terre et sous mer. Mais cela se justifie-t-il par un tarif de 3250€ alors que le Leica X (typ 113) coûte 1849€.
En son temps, Nikon lançait en 1963 le Nikonos un boitier construit spécifiquement pour la photo sous-marine. Un boitier mythique qui allait marquer pour toujours la marque nippone. Nikon abandonna le Nikonos avec le numérique. Depuis cette date pas une marque n’osa s’aventurer dans la conception de ce type de boitier. Le Leica X-U est, en quelque sorte, le successeur du fameux Nikonos.

Fuji X-Pro 2. Belle réussite photographique , mais en retenue!
Prés de quatre ans après la sortie remarquée du X-Pro1, un boitier hybride au format APS-C à l’esprit vintage, Fuji présente le X-Pro2; un boitier qui reprend les codes du Fuji X-Pro 1 qui ont fait son succès tout en y apportant de nouveaux centres d’intérêt tant photographiques que technologiques.
Si le Fuji X-Pro 2 ne fait pas la révolution, peut-être pour des raisons marketing ou tarifaires, il suit une sage évolution en se concentrant sur les éléments qui feront « l’Image ». Au regard du concept élaboré par Fuji, le X-Pro 2 se destine à la photographie de reportage, au sens le plus large, et de l’usage de focales fixes. De ce point de vue, le X-Pro 2 ne cannibalise pas le X-T1.