« Je ne reverrai plus ces beaux paysages, ces forêts, ces lacs, ces bosquets, ces rochers, ces montagnes, dont l’aspect a toujours touché mon cœur : mais, maintenant que je ne peux plus courir ces heureuses contrées, je n’ai qu’à ouvrir mon herbier, et bientôt il m’y transporte. »
« Je ne reverrai plus ces beaux paysages, ces forêts, ces lacs, ces bosquets, ces rochers, ces montagnes, dont l’aspect a toujours touché mon cœur : mais, maintenant que je ne peux plus courir ces heureuses contrées, je n’ai qu’à ouvrir mon herbier, et bientôt il m’y transporte. »