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Tri-Backup. La sauvegarde ce n’est pas fun et sexy, mais vital ! désolé!

Il y a des tâches informatiques récurrentes qui paraissent déplaisantes comme la maintenance du système, les mises à jour et les sauvegardes!
Ah!, ces fameuses sauvegardes, tout le monde s’accorde à penser qu'elles sont essentielles et vitales. Vitales! elles le sont, à l'échelon le plus élevé de la sécurité des données. Malheureusement, ce sont trop souvent que de bonnes intentions, jusqu’à ce jour ou vous avez perdu tout ou partie du contenu de votre ordinateur. Si par malheur ce jour arrivait, c'est que vous avez choisi la politique de l’autruche, avec le cul en l’air. Je comprends vos larmes et votre colère face à votre stupide malveillance. D’abord, reprenez une position plus décente et surtout prenez la décision de faire ce qu’il faut…

Comme dans le domaine de la postproduction photographique, les applications de sauvegarde ne se bousculent pas. Clairement, il y a Retrospect et Tri-Backup. Je ne parle pas des autres applications qui sont souvent des gadgets, qui fonctionnent avec plus ou moins d’efficacités et qui surtout ne répondent pas à tous les types de besoins et laissent trop souvent de nombreuses erreurs au niveau de la vérification des données sauvegardées.

Capture One Pro 9, votre talent de photographe mérite la meilleure application!

La photographie est certainement l’activité numérique la plus populaire. Mais, curieusement, si les photographes sont nombreux, les applications qui traitent le flux de production ne sont pas légion et surtout elles ne sont pas, ou très peu, adaptées aux nouveaux usages de la photographie. Bref, le photographe du XXIe siècle doit, d’une certaine manière, bricoler pour aboutir sur un travail de postproduction photographique conforme à ses besoins; qu’il soit ludique, expert ou professionnel.

Capture One Pro, dans sa version 9, nouvel opus de l’éditeur Phase One, corrigé d’un grand nombre d’incohérences, se présente désormais comme un véritable choix, voire une référence, face à Lightroom ou DxO OpticsPro.
Capture One Pro 9 s’affiche comme l’application photographique qui offre le meilleur rendu photographique grâce à des algorithmes de traitements des images qui sont uniques comme de la manière dont vous allez les utiliser.

Leica Q, le boitier qui raconte des histoires… #JADORE

Il y a des boitiers, dans votre vie de photographe, qui marquent votre esprit. Le Leica Q fait partie de ces objets qui auront marqué mon existence de faiseur d’images (Contarex, Nikon F, Leica M4P, Contax, Olympus E-1, Nikon D2HS, Fuji X100T, Sony RX1/RX1R…et peut-être le Sony RX1R II) .

Le Leica Q n’est pas un « simple » appareil photographique imprimé du logo Leica, c’est un boitier exceptionnel qui contient toutes les qualités techniques et optiques pour raconter vos plus belles histoires photographiques.

Le Leica Q est vraisemblablement l’amorce d’une nouvelle ère pour la prestigieuse marque allemande qui répondra enfin aux exigences de la photographie moderne sans, pour cela, tourner le dos à son histoire qui fascine et fascinera encore les générations à venir de ces fameux faiseurs d’images…

Sony RX1R II, l’excitante aventure continue!

Trois ans d’attente après la sortie du Sony RX1 et RX1R; Sony sort, dans une relative surprise, le Sony RX1R II, le compact ultime plein format de 42 Mpxl monté de la prestigieuse optique de 35mm f/2 signée Zeiss. Si la forme et le design de ce nouveau boitier restent identiques à ses prédécesseurs, sur le fond Sony a réalisé de nombreuses refontes qui visent l’amélioration de la prise de vue et la qualité de l’image finale.

Leica Q (Type 116). Une belle et excitante révolution est en marche…

Leica a annoncé depuis le 9 juin le Leica Q, le premier compact autofocus plein format à visée numérique de la célèbre et mythique marque allemande. Le Leica Q est équipé d’une optique fixe Summilux grand-angulaire stabilisée de 28mm F1.7. Le système photographique accède à un mode de simulation numérique tri-focale pour les focales 35 et 50 mm.

Au tarif de 3990€, le Leica Q n’est pas un simple imageur de luxe, c’est un véritable Leica construit avec l’esprit et la tradition Leica. Le Leica Q ressemble au Leica M dont il reprend certains concepts et en abandonne d’autres avec des avantages, mais aussi des contraintes.

Au final, on retrouve sur ce Leica Q la colorimétrie et le caractère original de Leica pour un tarif bien inférieur à un Leica M équipé qu’un 28 mm.

Après l’échec, presque annoncé du Leica T, il y a fort à parier que le Leica Q inaugurera un nouveau segment de marché plus en rapport avec les usages de la photographie numérique moderne tout en préservant les fondamentaux de Leica. Ce Leica Q devrait attirer de nouveaux photographes attirés par la célèbre pastille rouge de Weltzar avec tous les plaisirs de l’image qu’elle procure.

« Capturer l’instant » de Michael Freeman. Un ouvrage passionnant chez Eyrolles

« Capturer l’instant » de Michael Freeman est un hymne à l’art de la photographie et au partage de la connaissance. Un livre grand format de 208 pages consacré à l’art et à la manière de mesurer l’importance d’une scène et la pertinence à la saisir sur la pellicule ou la carte mémoire. Michael Freeman appréhende habilement, sans excès démonstratif, l’importance de la technique photographique comme celui de la sensibilité et de la culture. Un bel ouvrage qui renoue avec l’esprit de compagnonnage des livres photographiques des années 70 et 80. « Capturer l’instant » de Michael Freeman est livre de référence indispensable pour les débutants qui appréhenderont l’art de la photographie sous l’angle de la sensibilité et de la rigueur, mais aussi indispensable pour les professionnels en manque de sensibilité et/ou de culture…

Aujourd’hui n’importe qui (sic) est capable de prendre une belle et zolie photo. Comme une hirondelle ne fait pas le printemps, une simple et belle photo n’est pas une bonne photo. Il faut d’autres ingrédients comme la lumière, le cadrage, la sensibilité, la culture, la compréhension et la maitrise de ce qui est saisi, l’intemporalité de l’image, le contexte de l’image, etc., etc. Une bonne photo est une alchimie irrationnelle composée d’éléments rationnels. De même que l’on juge un photographe non pas sur quelques clichés, mais sur l’ensemble de son travail et de sa personnalité photographiques.

Yosemite avec le Fuji X-T1 et le zoom 10-24mm f4 R OIS

Au printemps dernier, j'ai eu la chance de me rendre pour la seconde fois au parc naturel de Yosemite, en Californie, qui reste parmi mes préférés de la côte ouest des Etats-Unis. Je m'y étais rendu une première fois à l'occasion d'un long road trip à travers les parcs nationaux en 2008.

Pour cette nouvelle édition, 2 paramètres ont changé. En 2008, j'étais encore équipé d'un réflex "full frame" Canon 5D et d'optiques "L" (17-40mm f4, 70-200mm f4 et 50mm f1.4), pour un poids total avoisinant les 3kg. Cette fois-ci, je suis parti avec le tout dernier Fuji X-T1 et son zoom grand angle 10-24mm f4 R OIS, afin de les mettre à l'épreuve du terrain. J'avais également pris mon optique fixe 60mm f2.4 afin de disposer d'un petit télé léger et compact. Le tout pèse 1065 grammes, soit près de 3 fois moins que mon équipement précédent! Si ce seul constat justifie le positionnement des appareils "hybrides", il était d'autant plus important que je partais cette fois-ci en randonnée sur plusieurs jours. Chaque gramme compte dans un sac pesant près de 20kg!

Capture One Pro 8, l'obsession de la perfection

Phase One, l’éditeur danois rendu célèbre pour le sérieux et la rigueur ultra-qualitative de ses produits  que sont les dos numériques et les applications photographiques, vient de mettre à jour Capture One Pro dans sa huitième version. Capture One Pro, pour ceux qui connaissent peu ou pas ce produit de développements des fichiers Raw, c’est l’application de référence « réservée » aux photographes qui aspirent aux meilleurs traitements numériques de leurs photos… parce qu’elles le méritent!

J’ai fait la connaissance de Capture One Pro depuis la version 1, bien avant que des produits comme Aperture ou Lightroom viennent débarquer sur le marché. Déjà, dans sa première version, Capture One Pro présentait des qualités de développement et de rapidité tout à fait exceptionnels. Capture One Pro ne ressemble à aucun autre produit sur ce segment de marché. L’approche fonctionnelle de Capture One Pro est unique et son éditeur Phase One cultive l’obsession de la perfection.

Capture One Pro, malgré ses indéniables qualités de références, reconnues par l’ensemble de la communauté photographique, présente des difficultés pour s'imposer en masse sur les disques durs des photographes pour une simple raison : l'absence d'une gestion avancée et moderne d'une librairie photographique. Le management des informations IPTC et EXIF revêt un caractère au moins aussi important que la partie développement image. La gestion IPTC/EXIF proposée par Capture One Pro est trop en retrait de ce que propose la concurrence pour s'imposer naturellement.

La dernière version 8 de Capture One Pro avance plus encore dans la quête de la perfection de l'image développée; un nouveau moteur de rendu, de nouvelles fonctions ainsi que des réglages plus fins, plus subtils. J'ai noté quelques avancées importantes quant à la gestion des catalogues photographiques. Mais, sur ce point, nous sommes encore loin de ce que cela devrait être.